- Des Programmes d’ajustement structurel aux objectifs du Millénaire : bilan des politiques d’aide internationale
- Campbell, B., (2006) « Quel développement ? Enjeux et défis du développement à l’heure de la multilatéralisation de l’APD" avec Gabriel Goyette, Relations, no. 712, novembre. pp. 12-14. Montréal.
- Campbell, Bonnie, Gisèle Belem, Vincent Nabe Coulibaly. 2007 « Réduction de la pauvreté en Afrique : Selon quel agenda de développement? Leçons tirées à partir de l’expérience de la production du coton et de l’or au Mali et au Burkina Faso, Les Cahiers de la Chaire C.-A. Poissant, Collection Recherche, no 2007-01F, juin, pp.49-70 Gabriel Goyette "Le déliement de l’aide au développement canadienne" (2008), 21 p.
- Les travaux de la Chaire C.A. Poissant de recherche sur la gouvernance et l'aide au développement et ceux de l'Axe aide au développement
- Campbell, B. (dir.) (2004), Qu'allons-nous faire des pauvres ? : réformes institutionnelles et espaces politiques ou les pièges de la gouvernance pour les pauvres, L’Harmattan.
- Monga, C. (2007), Un bantou à Washington, PUF, coll. Perspectives critiques.
Sur les migrations
- Adepoju, A. (2000), « Les migrations internationales en Afrique subsaharienne: problèmes et tendances récentes », in Kazancigil, A. (ed.), Revue Internationale des sciences sociales, UNESCO, ERES, (165) : 435-448.
Identité, pouvoir et développement
- Mohan, Giles et Zack-Williams (2002), “Globalisation from below : conceptualising the role of the African diasporas in Africa's development”, Review of African Political Economy (Africa, the African diaspora and development), vol.29, n°92 : 205-312.
- Delgado-Tall, S. (2001), “The new Negro movement and the African heritage in a pan-africanist perspective”, Journal of Black Studies, vol.31, n°3 : 259-379.
- Dedieu J.-P. (2003), « Les élites africaines, enjeu de la diplomatie scientifique des Etats-Unis », Politique étrangère, n°1 : 119-131.
Face aux enjeux internationaux
- Hugon P., « Le NEPAD entre partenariat économique et gestion des conflits », Politique étrangère, n°2 : 335-350, 2003.
- Hugon P. (dir..). 2003), Les économies en développement à l'heure de la régionalisation, Paris, Karthala :125-163
- Châtaignier J-M et H Magro, États et sociétés fragiles. Entre conflits, reconstruction et développement, Paris, Karthala, 2006.
- Hugon P., L’économie de l’Afrique, Paris, La Découverte, coll. « Repères » (5e éd), 2006.
- Hugon P., Géopolitique de l’Afrique, Paris, SEDES, 2007.
- Taylor, I. (2005), NEPAD : towards Africa's development or another false start?, Boulder, Colo., Lynne Rienner Publishers.
- Michelot, A. (ed.) (2006), Environnement et commerce – Perspectives en Afrique de l’ouest, UNITAR, Genève.
« En Afrique les projets de Lutte contre la pauvreté appauvrissent les populations ! ».
RépondreSupprimerC’est une femme admirable qui le dit. Une Sénégalaise qui depuis Saint-Louis œuvre inlassablement pour aider les femmes de la vallée du fleuve Sénégal à faire renaître l’agriculture de la région. Les hommes eux sont, contre l’avis des femmes et au péril de leur vie, partis en Europe pour essayer de gagner quelque argent…
« L’AIDE FATALE : Les ravages d’une aide inutile et de nouvelles solutions pour l’Afrique ».
C’est Dambisa MOYO, une autre Africaine qui a écrit ce livre, elle sait de quoi elle parle pour avoir travaillé à la Banque Mondiale…
« Ne pas avoir peur de dire aux Africains qu’on veut les aider, mais qu’on veut aussi que cela nous rapporte…/… ».
C’est un homme qui le dit, un Français, le Secrétaire d’État à la coopération, le même qui ajoutera un peu plus tard qu’il faut créer un loto pour financer l’aide publique au développement ! ».
Tout a donc été dit et sur le constat d’échec de l’aide et sur le peu de chances qu’il y a dans sortir si l’on continue à refuser les leçons qui auraient dues être tirées de ce constat.
Jacques DIOUF le Directeur Général de la FAO n’arrête de le calmer haut et fort : « Nous ne sortirons de la famine qu’en aidant ces pays à assurer en priorité leur autosuffisance alimentaire ». Or au lieu de le faire en commençant par le développement de leur secteur primaire, ce qui permettrait aux populations de vivre dignement dans leurs meubles, nous recherchons des marchés permettant d’assurer notre précieuse et sacro–sainte croissance.
Nous recherchons au travers de l’immigration prétendument choisie une main d’œuvre pour des taches que nous ne voulons plus accomplir.
Au lieu d’aider ces pays à assurer leur développement en commençant par atteindre leur autosuffisance alimentaire, non seulement nous les incitons à faire de l’agriculture industrielle en prétendant, imbécillité suprême, qu’ils dégageront les devises nécessaires à l’achat chez nous de leur nourriture ; mais nous leur faisons comprendre en prime que notre aide à leur développement doit avant toute chose nous rapporter.
a suivre...