L’ONG, qui ouvre son premier bureau en Afrique, prévoit d’y lutter contre le changement climatique, la déforestation ou la surpêche. Le lancement du premier bureau, en Afrique du Sud, a été suivi, le 24 novembre 2008 par l'ouverture d'un bureau à Kinshasa (République Démocratique du Congo - RDC) et d'un troisième bureau, début 2009, à Dakar (Sénégal).
Pour Amadou Kanoute, directeur exécutif de Greenpeace Afrique, « l'Afrique du Sud (14ème émetteur de CO2 au monde) doit jouer un rôle actif pour que les négociations des Nations unies sur le climat débouchent sur la mise à disposition des pays en développement d'un financement conséquent provenant des pays industrialisés et leur permettent de s'adapter et d'atténuer les effets dévastateurs des changements climatiques. » Le directeur exécutif de Greenpeace International, Gerd Leipold, a rappellé qu’«il est fondamental de s'attaquer aux problèmes environnementaux en Afrique, pour les générations futures et le monde entier. L'Afrique ne sera pas uniquement un des continents le plus rapidement et fortement touché par les changements climatiques. L'Afrique peut également faire partie de la solution».
Pour Amadou Kanoute, directeur exécutif de Greenpeace Afrique, « l'Afrique du Sud (14ème émetteur de CO2 au monde) doit jouer un rôle actif pour que les négociations des Nations unies sur le climat débouchent sur la mise à disposition des pays en développement d'un financement conséquent provenant des pays industrialisés et leur permettent de s'adapter et d'atténuer les effets dévastateurs des changements climatiques. » Le directeur exécutif de Greenpeace International, Gerd Leipold, a rappellé qu’«il est fondamental de s'attaquer aux problèmes environnementaux en Afrique, pour les générations futures et le monde entier. L'Afrique ne sera pas uniquement un des continents le plus rapidement et fortement touché par les changements climatiques. L'Afrique peut également faire partie de la solution».
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