41 ministres de l’environnement africains se sont réunis à l’hôtel El Aurassi d’Alger pour cette conférence qui s’est déroulé les 19 et 20 novembre 2008.
A l’issu de cette conférence, les ministres ont adoptés « la plateforme d'Alger qui servira de base de négociations pour l'Afrique lors des rencontres internationales sur les changements climatiques dans le cadre de la mise en œuvre de l'accord de Bali (2007-2012) » mais également à Poznan (Pologne) en décembre prochain et à Copenhague (Danemark) en décembre 2009.
Cherif Rahmani, ministre algérien de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme a indiqué que « l'Afrique a décidé d'avoir une position commune, ce qui consolide et synthétise l'ensemble des positions des pays africains. »
Cette conférence a également permis de « lancer un appel en faveur de la reforestation en Afrique et de la conjugaison des efforts pour réussir leur politique en matière de lutte contre le réchauffement climatique. » A cette occasion, Hocine Chalal, représentant de la Banque Mondiale, a rappelé que « le continent Africain n'est responsable que de 7,5% des émissions globales, et même 4% pour l'Afrique sub-saharienne. »
Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) ou pour le développement (PNUD) « ont salué l’initiative prise par les pays africains. » Jean Louis Borloo, ministre français de l'Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire a rappelé par ailleurs, que « l’idée d'un partenariat intercontinental, est en gestation depuis la dernière conférence climat de Bali, en décembre 2007 » et «a fait valoir les atouts de l'Afrique, le continent qui a le plus grand potentiel énergétique du monde en renouvelables. »
A l’issu de cette conférence, les ministres ont adoptés « la plateforme d'Alger qui servira de base de négociations pour l'Afrique lors des rencontres internationales sur les changements climatiques dans le cadre de la mise en œuvre de l'accord de Bali (2007-2012) » mais également à Poznan (Pologne) en décembre prochain et à Copenhague (Danemark) en décembre 2009.
Cherif Rahmani, ministre algérien de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme a indiqué que « l'Afrique a décidé d'avoir une position commune, ce qui consolide et synthétise l'ensemble des positions des pays africains. »
Cette conférence a également permis de « lancer un appel en faveur de la reforestation en Afrique et de la conjugaison des efforts pour réussir leur politique en matière de lutte contre le réchauffement climatique. » A cette occasion, Hocine Chalal, représentant de la Banque Mondiale, a rappelé que « le continent Africain n'est responsable que de 7,5% des émissions globales, et même 4% pour l'Afrique sub-saharienne. »
Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) ou pour le développement (PNUD) « ont salué l’initiative prise par les pays africains. » Jean Louis Borloo, ministre français de l'Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire a rappelé par ailleurs, que « l’idée d'un partenariat intercontinental, est en gestation depuis la dernière conférence climat de Bali, en décembre 2007 » et «a fait valoir les atouts de l'Afrique, le continent qui a le plus grand potentiel énergétique du monde en renouvelables. »
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