vendredi 30 octobre 2009
L’appel de Cotonou lancé par Jacques Chirac contre le trafic des faux médicaments
mercredi 28 octobre 2009
L’eau enjeu de l’alimentation
lundi 26 octobre 2009
La FAO pointe la baisse de l’aide et des investissements dans l’agriculture
samedi 24 octobre 2009
La présence permanente en Asie des grandes ONG permet une mobilisation contre les catastrophes
Séisme en Indonésie, typhon aux Philippines, au Vietnam et au Laos, tsunami aux îles Samoa et Tonga : l'Asie a subi en quelques jours une série de catastrophes dévastatrices, qui ont provoqué des milliers de morts et privé d'eau, de nourriture et de toit des centaines de milliers de personnes. François Danel, directeur d'Action contre la faim, n'a pas souvenirs d'événements frappant "presque simultanément aussi fort". Cette accumulation complique la tâche de l'aide humanitaire. "Une telle succession est difficile à gérer, surtout quand un événement imprévisible, comme un tremblement de terre, s'ajoute aux phénomènes climatiques auxquels nous sommes davantage préparés, comme les tempêtes tropicales", affirme Marie-Noëlle Rodrigue, responsable des opérations d'urgence chez Médecins sans frontières.
Les équipes des agences de Nations unies et des ONG d'aide humanitaire d'urgence sont en train de faire route vers les zones sinistrées, afin d'évaluer les besoins des populations. "L'accès à l'eau potable, la fourniture d'alimentation et d'abris temporaires sont des priorités dans ce genre de situation, explique M. Danel. La coordination avec les gouvernements, les agences des Nations unies et les autres ONG doivent nous permettre d'être les plus pertinents possibles."
Les humanitaires sont cependant loin de découvrir ces zones. La plupart des organisations sont présentes en permanence dans les pays touchés depuis des années, et disposent de réseaux locaux sur lesquels elles peuvent s'appuyer. "Environ six cents personnes travaillent pour notre organisation dans les cinq pays touchés, explique Melanie Brooks, porte-parole de Care. Ils travaillent sur l'accès à l'eau, l'assainissement, la santé, mais ont aussi été formés pour répondre aux urgences." "Notre ligne de conduite est d'anticiper les catastrophes, en prépositionnant du matériel et en formant les hommes du réseau", affirme Jean-François Riffaud, de la Croix-Rouge française. Cette politique démontre aujourd'hui son utilité."
Pour être présentes sur tous les fronts, les ONG vont cependant avoir rapidement besoin de fonds. "La question des arbitrages financiers ne se pose pas encore, affirme M. Danel. Nous savons qu'en cas de catastrophe les Etats et les populations civiles se mobilisent pour nous fournir des moyens supplémentaires, et nous espérons que cela sera le cas cette fois-ci." La Commission européenne a débloqué, jeudi 1er octobre, 3 millions d'euros - auxquels l'Allemagne a ajouté 1 million d'euros - pour les sinistrés indonésiens et l'Espagne 1 million d'euros pour les secours aux Philippines, tandis que les Etats-Unis se sont engagés à verser 2,2 millions d'euros.
Mais les ONG redoutent une éventuelle lassitude de leurs donateurs. "Nous lançons des appels répétés, constate Sébastien Deschamps au Secours catholique. Or il est difficile de mobiliser sur plusieurs sujets à la fois." La Croix-Rouge a d'ailleurs décidé de lancer un appel commun en faveur des "sinistrés de l'Asie et du Pacifique".
jeudi 22 octobre 2009
Eau: le goût et le coût – article de l'hydrogéologue Thierry Helsens, installé au Mali depuis 2002

mardi 20 octobre 2009
Les pays pauvres supporteront 80% des dégâts du changement climatique
samedi 17 octobre 2009
35 milliards de dollars
Au final, constate un rapport de l’ONU, l’aide totale reste inférieure à la cible de 0,7% du revenu national brut des donateurs qui avait été fixée par les Nations Unies. En 2008, seuls le Danemark, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas et la Suède ont atteint ou dépassé cet objectif. Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon ne désespère pas. Pour lui, les objectifs restent "à notre portée, même dans les pays très pauvres", si tant est qu’il y ait une volonté politique forte et un financement adéquat et soutenu...
jeudi 15 octobre 2009
Kenya : les enfants des décharges
Reportage choc diffusé par Arte sur Dandora, la plus grande montagne d’ordures du Kenya. On y verse 2.000 tonnes de déchets par jour et 10.000 personnes y cherchent des restes d’aliments ou d’autres détritus qu’ils pourront vendre pour quelques cents.
REPORTAGE ENFANTS DECHARGES NAIROBI KENYA 2009 1
envoyé par DOCUMENTAIREROOTS. - L'info internationale vidéo.
REPORTAGE ENFANTS DECHARGES NAIROBI KENYA 2009 2
envoyé par DOCUMENTAIREROOTS. - L'info internationale vidéo.
source : dailymotion
mardi 13 octobre 2009
Un bébé sur 10 nait prématurément dans le monde
Plus de 85 % de tous les enfants nés avant-terme naissent en Afrique et en Asie, soit 11 millions de bébé au total. Mais si les pays en développement sont particulièrement affectés par ce problème, les pays occidentaux ne sont pas épargnés : aux Etats-Unis, le nombre de bébés prématurés a augmenté de 36 % depuis 25 ans, précise cette étude.
Un nombre de grossesses plus important chez les femmes de plus de 35 ans et un recours croissant aux techniques de procréation médicalement assistée sont pointés par les auteurs comme étant des explications au nombre croissant de bébé prématurés dans les pays développés. Dans les pays en développement, c'est la malnutrition et le manque de soins qui sont en cause.
"Les naissances avant-terme représentent un énorme problème mondial avec des coûts émotionnels, physiques et financiers très lourds pour les familles, les systèmes de santé et les économies nationales", souligne le Dr Jennifer Howse, présidente de l'organisation caritative américaine "The March of Dimes" qui a produit ce rapport. Ce dernier a été présenté à la quatrième conférence sur les défauts de naissance et les handicaps dans les pays en développement, se tenant cette semaine à New Delhi en Inde.
"Rien qu'aux Etats-Unis, le coût annuel des soins pour les prématurés, et les problèmes de santé dont ils souffrent le plus souvent, atteint les 26 milliards de dollars", souligne-t-elle dans un communiqué. "Si les dirigeants dans le monde souhaitent atteindre les objectifs du Millénaire de l'ONU pour le développement visant entre autres à réduire la mortalité infantile et à améliorer la santé maternelle, la lutte contre les naissances prématurées doit être prioritaire" ajoute-t-elle.
lundi 12 octobre 2009
L’eau, priorité affichée de la Côte d’Ivoire
samedi 10 octobre 2009
Quand mourir de faim est un crime
vendredi 9 octobre 2009
22 millions de dollars pour l’éducation à Haïti
jeudi 8 octobre 2009
D'ici à 2050, l'agriculture nécessitera de colossaux investissements
mardi 6 octobre 2009
Une Bulgare à la tête de l’Unesco
Au terme d'un cinquième tour de scrutin, c'est donc une candidature « européenne » qui l'a emporté. Une coalition s'était, en effet, formée pour faire échec au candidat égyptien Farouk Hosni, auteur de propos antisémites et accusé de pratiquer la censure dans son propre pays.Irina Bokova a vu se rallier à sa candidature plusieurs pays européens ou sud-américains après les défections de l'Autrichienne Ferrero-Waldner et de la candidate équatorienne. Même les États-Unis s'étaient finalement ralliés à elle. Mais ce fut très serré. Irina Bokova l'a emporté par 31 voix contre 27 voix à Hosni.Âgée de 57 ans, Irina Bokova est ambassadrice de Bulgarie en France. C'est une ancienne communiste, devenue une Européenne convaincue et parlant couramment anglais, espagnol, français et russe. Elle sera la première femme à diriger l'Unesco.
« Bokova s’en va vers le plus haut poste international jamais occupé par un Bulgare", écrit Svetoslav Terziev, le correspondant diplomatique du quotidien Sega. "Mais il est difficile d’imaginer qu’elle a été élue en raison de sa nationalité", poursuit-il, rappelant la conjecture internationale très particulière de cette élection dans laquelle elle apparaissait, il y a encore quelques semaines, comme le grand outsider. Selon Svetoslav Terzivev, ce n’est certainement pas le soutien diplomatique bulgare qui a joué ici un rôle décisif. "Etre soutenu pour le gouvernement d’un pays vu comme ‘le plus corrompu de l’Union européenne’ n’est certainement pas un avantage", ironise-t-il. "Candidate du compromis", elle aura la lourde tâche de réformer l’UNESCO, que Sega compare aux écuries d’Augias.
lundi 5 octobre 2009
Le choléra repart au Zimbabwe
Les nouveaux cas ont été enregistrés dans le district de Chipinge, dans l'est du pays.
"Nous enregistrons toujours des cas sporadiques dans cette zone, donc il n'y a vraiment pas de quoi paniquer à ce stade", a déclaré à la presse le ministre de la Santé, Henry Madzorera.
"Nous devons juste nous assurer que nous avons les réserves suffisantes pour ces quelques cas", a ajouté le ministre sans plus de précisions.
L'année dernière, le Zimbabwe a été frappé par la pire épidémie de choléra de son histoire qui a tué plus de 4.200 personnes sur plus de 100.000 malades.
Fin juillet, le ministère zimbabwéen de la Santé avait annoncé que cette épidémie, qui avait débuté en août 2008, était terminée.
Une nouvelle épidémie de choléra au Zimbabwe est "presque inévitable" dans ce pays, où la maladie est devenue endémique, avaient affirmé en août les Nations unies.
Selon l'ONU, quelque six millions de personnes n'ont pas ou peu accès à l'eau potable et aux installations sanitaires au Zimbabwe, ce qui favorise la propagation du choléra, infection transmise par une bactérie intestinale hautement contagieuse se transmettant par les eaux usées.
Source : AFP
vendredi 2 octobre 2009
Des stars au service des OMD
Invité par l'ancien président des Etats-Unis Bill Clinton à prendre la parole lors de son congrès annuel Clinton Global Initiative, Matt Damon a une nouvelle fois prouvé son engagement envers Haïti. La star d'Hollywood qui avait visité Haïti en septembre 2008, a soutenu que l'action de son organisation s'étend à des programmes de subvention ainsi que l'appui aux institutions de micro-finances.
L'annonce a été faite au cours du cinquième congrès annuel de la Clinton Global Initiative (CGI) qui rassemble des décideurs internationaux et un panel de stars pour concevoir et mettre en œuvre des solutions innovantes afin de résoudre des défis climatiques, humanitaires et religieux.